Oxymores et coquecigrues (2012)

Le sixième album de Aleph n’est plus expérimental. J’avance déjà en terrain connu. Mais comme le disait à peu près Albert Camus dans l’étranger, on peut vivre une infinité de souvenirs en ayant vécu ne serait ce qu’une journée. Je peux donc encore et encore continuer cet exercice qui consiste à refaire, peu ou prou, infiniment la même chanson.

Ce sixième album a quand même quelque chose de singulier, il raconte des histoires.
Il commence par une déchéance. Puis je parle de cette télévision qui envahit notre univers. Les résistants sont devenus rares…Un petit rattrapage pour Raphaël qui n’était pas né lorsque j’ai réalisé “Le roman et l’étincelle”
Le père Noël comme prémisses à la foi. Une rencontre de l’Animal domestique. Un petit hommage à l’école.
Des disputes ? Vous n’en avez jamais eu ? La seule chanson nombriliste. Je reparle de jalousie mais je suis guéri
Vois-tu ce que j’ai voulu dire cette fois ?

 

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