Pour moi, l'un des plus beaux poèmes du XIXème (Merci à Pierre Bastide, mon professeur de français en 1ère A1 en 1987) El Desdichado (1854) (Gérard De Nerval)
En tant qu'athée, l'enfer ne peut être que sur terre. Et il ne peut venir que de nous même. Celui-ci est celui dont parle Claude Chabrol dans son film éponyme
La solitude. Celle qui fait qu'on cherche à écouter n'importe quelle voix, n'importe quel discours. Sartre évoque le cas d'Erostrate ("Le mur") et c'est un peu la même histoire dont je parle là.
Voici donc l’album de reprises que nous avons fabriqué en plus d’un an.
Il est vrai que nous avons d’autres activités…
Sur cette page, vous trouverez les 10 chansons interprétées par Sève.
Vous pourrez les écouter directement sur la page ou télécharger l’album.
Pour ceux qui aimeraient avoir une version CD, faîtes le nous savoir pour que nous vous la fassions parvenir.
Partages et commentaires sont les très bien venus
Bonne écoute et à bientôt
Chris
Comme je l’avais expliqué au début des articles concernant cet album de reprises, c’est bien Sève qui a choisi les titres. Jusqu’à présent, ça ne s’est pas forcément vu mais cette fois, je pense que vous devinerez que ça n’était pas a priori ma tasse de thé. Mais l’exercice fût finalement plus intéressant et même agréable que ce que j’appréhendais. Pour cela, bien évidemment, j’ai essayé d’y mettre un maximum de ma patte. Et je n’y suis pas allé avec le dos de la cuiller (de ma tasse de thé).
Petit merci à mes trois avatars, Lucas, Eléa et Raphaël qui ont joué le jeu d’un featuring.
“Soleil d’hiver” est tirée de l’album “Quel enfer !” de Niagara sorti en 1988. Même si nous sommes ici dans la variété française des années 80, il faut bien reconnaître que Niagara était l’un des rares groupes de cette génération top 50 a avoir essayé de mettre du fond dans ses textes (comme peut être “L’affaire Louis Trio” par exemple).
“Soleil d’hiver” a donc une certaine profondeur (toute relative certes mais c’est tout de même à noter).