Pour moi, l'un des plus beaux poèmes du XIXème (Merci à Pierre Bastide, mon professeur de français en 1ère A1 en 1987) El Desdichado (1854) (Gérard De Nerval)
En tant qu'athée, l'enfer ne peut être que sur terre. Et il ne peut venir que de nous même. Celui-ci est celui dont parle Claude Chabrol dans son film éponyme
La solitude. Celle qui fait qu'on cherche à écouter n'importe quelle voix, n'importe quel discours. Sartre évoque le cas d'Erostrate ("Le mur") et c'est un peu la même histoire dont je parle là.